Je suture, je soude, je déssoude.

un type qui me connaissait il y à quelques années a écrit:

« Fils d’un père berlinois et d’une mère londonienne il voyage beaucoup entre ces deux capitales mais ne possède que l’identité berlinoise. Il est très intéressé par la science, notamment par le domaine de la médecine qu’il étudie avec un grand intérêt depuis ses quinze ans.

A 17 ans il fait un voyage au Japon avec ses parents où il se fait implanter un Data Jack et 100 Mp de mémoire. Quelques jours plus tard ses parents se font assassiner par une puissante bande de Yakusa. Dès lors, livrer à lui-même, il décide de rester au Japon un moment et se fait recueillir par un artificier qui rapidement le prend comme assistant. Ayant un toit et un peu d’argent il décide d’apprendre la médecine japonaise, ainsi que l’aïkido, sport qui le fascine. Après avoir résider un an et demi au japon, il se fait implanter des yeux cybernétiques, et quitte l’archipel pour le continent avec un ami japonais, Yogano Imata.

La vie en Asie lui paraît très dure au début car les agressions sont très fréquentes (surtout à l’égard des étrangers), il apprend à se battre avec et sans armes et développe des aptitudes à la survie qu’il ne soupçonnait pas. Il adore les poussées d’adrénalines mais ne fais rien pour les provoquer, bien au contraire, il évite les situations délicates s’il le peut. Au bout de quelque temps il se trouve un job d’ouvrier assembleur dans une usine d’électronique ‘Made in China’. Il y travail un an puis décide de retourner à Berlin, sa ville natale après la mort de Yogano tué lors d’une agression dans la rue.

Il entreprend donc un voyage vers l’Allemagne et pars à pied avec son baluchon sur l’épaule. Au cours de l’année qu’il lui faudra pour rejoindre son foyer natal, il effectuera quelques boulots pour subvenir à ses besoins : quelques soins prodigués par-ci par-là (il apprendra d’ailleurs quelques techniques médicales locales), ou quelques exécutions comandités par des malfrats aucours desquelles il dégommera ses cibles avec l’arme de tous ses fantasmes (le fusil de sniper), arme, qui lui vaudra pas mal d’ennui avec les autorités.

Arriver à Berlin, il gagne sa vie comme « charcudoc », il étudie parallèlemnt à cela les sciences particulièrement la chimie des explosifs. Il fait la connaissance de Fritz Wald, un chirurgien qui a reçut bon nombre de patients à qui Nowan avait donner les premiers soins et qui remarque que le travail effectué est de qualité pour un médecin de cette classe. Fritz l’aide à financer son cabinet médical (dette aujourd’hui remboursée) et lui inculque quelques notions d’informatique. »

Voilà là où j'en étais de ma vie avant de me lancer vraiment dans les shadowruns.

Mais à force de soigner les types louches des bas fonds urbains on se créé une petite réputation, de fil en aiguille on en aprend un peu plus et parfois un peut trop sur ses patients. Il arrive alors que des liens se tissent, que de petits services soient rendus. Et là, sans l’avoir vu venir, souhaité ou même envisagé on se rend compte que l’on a franchi la ligne. On est dans l’illégalité, dans l’Ombre. C’est alors que j’y ai pris goût. Un petit créneau horaire dans mon emploi du temps consacré pour un petit job sans trop de risque et bien payer. Surveiller la santé d’un mec qu’on doit exfiltrer, retrouver un type, surveiller un individu… Quelquesoit le job on prend peut à peut de plus en plus de risques, on s’implique dans des situations délicates et dangereuses. On y rencontres des types, certains sont réglos, mais beaucoups sont des enculés. On découvre beaucoup choses. La magie et ses applications, des secrets, des complots… On se fait un nom. Mais… On ne gagne pas forcément à être connu.

Un jour vous êtes grillé. Et là c’est le début des emmerdes. Les vrais. Quand une machine titanesque et impitoyable vous traque, vos choix se restreignent, les mégacorpos vous tiennent à la gorge et vous devez fuir, vous devez disparaître. Et mieux vaut disparaître de sa propre initiative. J’ai ainsi connu une époque ou mes seules possessions étaient mon prédator et ma voiture, cette bonne vieille américar. Une période difficile ou survivre est votre unique préocupation. Ne pas laisser de traces, tout vérifier, ne pas rester au même endroit, trouver de quoi manger, une planque, un contact fiable, la précarité vous use et la solitude vous rends vulnérable. En plus des corpos et des autorités vous devez vous méfier des gangs, des malfrats et même des mecs qui vous connaissent.

Puis, après les mauvais moments, la vie vous sourit de nouveau, vous vous refaite un peut, vous êtes plus prudent. Vous reprennez alors le créditubes d’un Johnson, il faut bien vivre sa vie. Et rester planqué ce n’est pas une vie, pas la mienne en tout cas. Malheureusement au bout d’un moment une corpo qui vous traquait vous tombe dessus au détour d’une rue. Vous vous dite que c’est la fin. Mais en fait ils vous proposent un job. Alors on l’accepte, parce que dans certaines situations on n’a pas le choix, on se brade pour un boulot sucide et quelques nuyens.

C’est alors que je suis parti pour l’Afrique, faire un boulot particulier pour cette corpo qui nécéssitait des compétences techniques d’expertise et de recherche. Là-bas on a chercher. Et on a trouver. Là-bas j’ai fleurté avec des magies colossales, que je ne comprennait pas. J’y ai rencontré des personnes très influente, qui ont leur empreinte dans le monde actuel. J’y ai vécu des luttes corporatistes et religieuses, des conflits d’intérêts. Je n’ai jamais autant appris. La Connaissance ancestrale ammasée par des générations et des générations d’érudits était à notre portée. Mais les événements ne se controllent pas toujours et nous avons du fuir sous les assauts de l’armée du Vatican.

Je me suis alors promener ça et là à travers le monde, jusqu’à ce qu’une de mes connaissances me propose un travail… mais pas une run. Un vrai travail. Un poste de direction sur un filiale de recherche d’une mégacorp. J’ai accepté.

J’ai fondé Medical Technologies Incorporated alias Med Tech. Je suis le directeur de cette filiale de Transys Neuronet, et son second actionnaire majoritaire après le boss de Transys, qui détient 50 % des parts. Mon entreprise est spécialisée dans la recherche médicale, et explore toute les voies possible de la technologie de pointe aux rituels de guérison En passant par de nombreuses voies que certaines personnes pourraient trouver abominable. Mais c’est ça la science. Il faut faire des hypothèses, expérimenter, étudier, tester c’est la voie du progrès qui nous sera peut-être salvateur dans les temps à venir, même si tout les résultats ne sont pas concluants. Car si même si cela en fera rire certains et en étonnera d’autres toutes mes connaissances et ce que j’accumule à mesure que les années passent ont pour but de sauver la Vie et la Création.

Bientôt j’espère ouvrir une clinique, c’est en bonne voie, mais ce n’est pas encore dans la poche, comme beaucoup de start-up Med Tech doit faire ses preuves et se battre pour survivre… et le monde corporatiste est un monde de chacal que je déteste, mais c’est la seule solution pour parvenir a mes fins.

Voilà dans les grandes lignes ce qu’a été ma vie jusqu’à présent, désolé si l’absence de certains détails vous laisse dans le flou mais je suis sur que vous me comprendrez mes omissions.

Docteur Alexandre Nowan.

bienvenu à toi cher doc !

Et bon courage pour l'ouverture de ta clinique !

Et puis bonne chance, aussi ...

Guten Tag,

Ich heisse Eva. Das ist wunderbar, einen deutschen Mann zu finden. Willkommen !

Euh désolé Fraülein mais l'allemand en rôle play ça va être un peut dur...

(HRP j'ai fait Anglais et espagnol à l'école et tout ce que que connait en allemand c'est ya, nein et ein beer biteu - a lire en phonétique évidemment...)

docnowan a écrit:

Euh désolé Fraülein mais l'allemand en rôle play ça va être un peut dur...

(HRP j'ai fait Anglais et espagnol à l'école et tout ce que que connait en allemand c'est ya, nein et ein beer biteu - a lire en phonétique évidemment...)

alors déjà en bon allemend on dit: "eine bier bitte", sinon la demoiselle te souhaite le bonjour,t'apprend qu'elle se nomme EVA et dit aussi que c'est merveilleux de rencontrer un (homme) allemand... elle conclue par une expression de "bienvenu"...

mes avis que t'as une touche DOC

Oui mais bon... Fraülein a été mon Johnson a ma première run alors je pense que je garderai toujours mes distance vis-a-vis de cette personne, bien qu'elle soit respectable a ma connaissance
Mais Bonjour quand meme Miss Brackaüs